Dernière mise à jour le 29 novembre 2024 par slecourtier
ÉDITO : 5 DÉCEMBRE, J’Y SERAI
Jean-Rémi Girard
Président du SNALC
Je sais qu’il y a de nombreuses raisons de ne pas la faire.
La grève ponctuelle à répétition est un échec, et le SNALC le dit et le sait. Il est de plus en plus difficile de mobiliser. Nous essuyons surtout des défaites. Il faudrait un mouvement long / une grève reconductible / des alternatives à la grève…
Pourtant, le SNALC appelle à la grève à partir du 5 décembre. Nous le faisons car il faut le faire. Nous le faisons car ce qui est en train de nous arriver est une accélération violente dans le processus à l’œuvre de destruction de la fonction publique. Nous le faisons aussi car s’il n’y a pas la grève, il n’y aura rien d’autre. Les alternatives ne peuvent fonctionner que si elles aussi sont majoritaires et suivies, et le constat est qu’aujourd’hui, elles ne le sont pas. . [Lire la suite]
DOSSIER DU MOIS : RISQUES PSYCHOSOCIAUX : QUI EST (IR)RESPONSABLE ?
- Santé et sécurité des personnels : une inertie coupable
- Conflits et RPS : attention danger !
- Éducation nationale : le paradoxe des injonctions
- « Accompagner » le changement, humainement
- RPS vs CPS : un glissement inacceptable
- Handicap et RPS : une intolérable double peine
- Mobi-SNALC, le couteau suisse du SNALC !
CONDITIONS DE TRAVAIL
- Rapport du médiateur : les AESH toujours plus malmenés
- Vélo, covoiturage : avez-vous droit au forfait mobilités durables ?
- Avantages-SNALC : à la recherche d’idées cadeaux ?
- Santé scolaire : le ministère Diafoirus va-t-il achever le malade ?
- L’enseignant face à l’enfant-roi
LES PERSONNELS
SYSTÈME ÉDUCATIF
- Groupes au collège : l’enquête du SNALC contredit le ministère
- Choc des savoirs : le délire continue
- Audience du SNALC par la DGESCO : un dialogue franc et ouvert
- UNSS : le scandale !
- Salon educ@tech expo : « l’éléphant au milieu de la classe » ?
Afin d’être au plus près de vos attentes et de vous informer au mieux, la revue du SNALC a évolué dès cette rentrée, avec désormais deux numéros mensuels au lieu d’un : l’un centré sur le second degré et le supérieur, et le second sur les problématiques spécifiques de l’école primaire.